À très bientôt les amis (dans deux dodos)
vendredi 28 janvier 2011
lundi 24 janvier 2011
Tahiti Aloa!
Bonjour à tous
Le voyage à Tahiti se déroule à merveille.
Nous sommes actuellement sur l'île de Mooréa
Une perle du pacifique (tu peux en acheter aussi)
C'est superbe, une île où il fait bon vivre sur le BS
Comme vous avez été sages, voici quelques photos
Au programme:
Mercredi: Expédition en bateau (on va voir les raies et des requins inoffensifs)
Jeudi: Location d'une voiture, tour de l'île, cérémonie de renouvellement de nos voeux de mariage
Vendredi: On se promène et en soirée: spectacle de danses Tahitiennes
Samedi: Retour à Pepeete et grand départ en soirée (encore 24h de vol)
On pense toujours à vous, bien évidemment...
À bientôt
Le voyage à Tahiti se déroule à merveille.
Nous sommes actuellement sur l'île de Mooréa
Une perle du pacifique (tu peux en acheter aussi)
C'est superbe, une île où il fait bon vivre sur le BS
Comme vous avez été sages, voici quelques photos
Au programme:
Mercredi: Expédition en bateau (on va voir les raies et des requins inoffensifs)
Jeudi: Location d'une voiture, tour de l'île, cérémonie de renouvellement de nos voeux de mariage
Vendredi: On se promène et en soirée: spectacle de danses Tahitiennes
Samedi: Retour à Pepeete et grand départ en soirée (encore 24h de vol)
On pense toujours à vous, bien évidemment...
À bientôt
jeudi 13 janvier 2011
Le pire est passé
Salut à tous
Malgré le spectacle désolant de la ville sous l'eau, le niveau le plus haut atteint par la rivière Brisbane a été un mètre plus bas qu'initialement prévu. Même si nous sommes confinés à notre banlieue, nous sommes sortis prendre l'air un peu. Voici quelques clichés des rues autour de nous. En tout cas, c'est pas de l'eau de piscine qui a débordé parce que ça sent le yable en bibitte.
Combien de temps avant de faire disparaître toute cette eau ? Les paris sont ouverts...
Malgré le spectacle désolant de la ville sous l'eau, le niveau le plus haut atteint par la rivière Brisbane a été un mètre plus bas qu'initialement prévu. Même si nous sommes confinés à notre banlieue, nous sommes sortis prendre l'air un peu. Voici quelques clichés des rues autour de nous. En tout cas, c'est pas de l'eau de piscine qui a débordé parce que ça sent le yable en bibitte.
Combien de temps avant de faire disparaître toute cette eau ? Les paris sont ouverts...
mercredi 12 janvier 2011
Glou Glou Glou !!!
Oups !
On se pensait bien bottes l’autre jour sur le blogue, mais là, c’est à notre tour d’y goûter alors que les inondations qui sévissent dans le Queensland viennent de gagner Brisbane et 80 de ses banlieues. En effet, la rivière Brisbane est sortie de son lit dans les dernières heures et la ville est en plein milieu d’un sinistre sans précédent. Ce matin, l’électricité a été coupée dans 100,000 foyers incluant le centre-ville qui est dans la flotte. Et la situation se détériorera demain alors que la rivière atteindra son plus haut niveau. Rappelez-vous que Brisbane est la troisième plus grosse ville d’Australie (2 millions d’habitants). Imaginez-vous un instant, planète Montréal dans la même situation. On en entendrait-tu parler tu penses ? Dans la métropole, ça ferait longtemps que les vitres des commerces seraient pétées et que les magasins seraient pillés. Bien au contraire, ici, ça se passe comme au Saguenay. Les gens s’entraident calmement. Le line-up à l’épicerie était d'ailleurs d'un calme désarmant : une file qui faisait le tour de l’épicerie (disons une centaine de chariots). Tout le monde souriait en, achetant du lait Grand Pré pis des cannes de bines ! On a même vu du monde acheter des bateaux pneumatiques !!
Heureusement, notre maison est localisée dans une banlieue juchée sur une colline. Pas trop de risque pour nous.
Constatez vous-même sur la photo…Ces petites maisons blanches là, c’est fait fort !!!
Par contre, nous sommes confinés à notre banlieue puisque les grosses artères autour sont fermées ainsi que le centre-ville. Il est donc, impossible de quitter l’Atlantide. Les matins de semaine, j’ai l’habitude d’aller courir sur le campus de l’université du Queensland (sous la flotte), on va au Perrin’s park (sous la flotte), à la piscine (impossible de s’y rendre), au cinéma (fermé). Caro a reçu un courriel : QUT fermé jusqu’à nouvel ordre (inondé…).
À l’épicerie, aucun ravitaillement possible. Les épiceries affichent vides. Pas de lait disponible, pas de pain, pas d’œufs, aucune viande, presque plus rien sur les étalages et aucun fruits et légumes (on va peut-être revenir avec le scorbut !). On s’est dit qu’au pire, on mange Juju !!!
Un peu comme lors de la crise du prix de l’essence, les gens font la ligne aux stations d’essence. Vision quelque peu apocalyptique.
Bien égoïstement, la seule chose qui nous préoccupe, c’est de pouvoir prendre notre avion le 21 janvier. Fort d’heureusement, la pluie vient de cesser et on annonce 5 jours de beau temps. Ça devrait suffire à faire baisser le niveau de la rivière.
Mettez vos chapelets sur la corde à linge
On vous tient informés via le blogue, Facebook, internet et Skype
À bientôt
On se pensait bien bottes l’autre jour sur le blogue, mais là, c’est à notre tour d’y goûter alors que les inondations qui sévissent dans le Queensland viennent de gagner Brisbane et 80 de ses banlieues. En effet, la rivière Brisbane est sortie de son lit dans les dernières heures et la ville est en plein milieu d’un sinistre sans précédent. Ce matin, l’électricité a été coupée dans 100,000 foyers incluant le centre-ville qui est dans la flotte. Et la situation se détériorera demain alors que la rivière atteindra son plus haut niveau. Rappelez-vous que Brisbane est la troisième plus grosse ville d’Australie (2 millions d’habitants). Imaginez-vous un instant, planète Montréal dans la même situation. On en entendrait-tu parler tu penses ? Dans la métropole, ça ferait longtemps que les vitres des commerces seraient pétées et que les magasins seraient pillés. Bien au contraire, ici, ça se passe comme au Saguenay. Les gens s’entraident calmement. Le line-up à l’épicerie était d'ailleurs d'un calme désarmant : une file qui faisait le tour de l’épicerie (disons une centaine de chariots). Tout le monde souriait en, achetant du lait Grand Pré pis des cannes de bines ! On a même vu du monde acheter des bateaux pneumatiques !!
Heureusement, notre maison est localisée dans une banlieue juchée sur une colline. Pas trop de risque pour nous.
Constatez vous-même sur la photo…Ces petites maisons blanches là, c’est fait fort !!!
Par contre, nous sommes confinés à notre banlieue puisque les grosses artères autour sont fermées ainsi que le centre-ville. Il est donc, impossible de quitter l’Atlantide. Les matins de semaine, j’ai l’habitude d’aller courir sur le campus de l’université du Queensland (sous la flotte), on va au Perrin’s park (sous la flotte), à la piscine (impossible de s’y rendre), au cinéma (fermé). Caro a reçu un courriel : QUT fermé jusqu’à nouvel ordre (inondé…).
À l’épicerie, aucun ravitaillement possible. Les épiceries affichent vides. Pas de lait disponible, pas de pain, pas d’œufs, aucune viande, presque plus rien sur les étalages et aucun fruits et légumes (on va peut-être revenir avec le scorbut !). On s’est dit qu’au pire, on mange Juju !!!
Un peu comme lors de la crise du prix de l’essence, les gens font la ligne aux stations d’essence. Vision quelque peu apocalyptique.
Bien égoïstement, la seule chose qui nous préoccupe, c’est de pouvoir prendre notre avion le 21 janvier. Fort d’heureusement, la pluie vient de cesser et on annonce 5 jours de beau temps. Ça devrait suffire à faire baisser le niveau de la rivière.
Mettez vos chapelets sur la corde à linge
On vous tient informés via le blogue, Facebook, internet et Skype
À bientôt
lundi 10 janvier 2011
♫ Here comes the rain again, ♪falling on my head like a memory ♬….
Vous souvenez-vous de la pluie qui n’est pas tombée sur le Québec cet été? Vous devez ben vous demander ce qui est arrivé de toute cette eau? Comme disait Lavoisier «rien ne se perd, rien ne se crée ». Pis si vous le crayez pas, ben regardez ce qui nous tombe sur la tête!! L’été du siècle au Québec s’est transformé en pire été en cent ans au Queensland. Jamais vu autant de flotte. Des villes littéralement submergées. Des serpents pis des crocodiles dont les habitats ont pris de l’ampleur et qui se promènent dans l’eau en se cherchant un Big Mac. Pas un endroit pour les Géraldines comme dirait Crocodile Dundee (un Queenslander célèbre).
Heureusement, pour ceux qui s’inquiétaient, nous sommes chez nous bien au sec. Pour la fête de Noël, nos plans ont du changer à la dernière minute puisque nos amis Kim et Camilla, qui devaient nous recevoir, ont réalisé que leur maison de location n’était pas faite en silicone! En effet, les malheureux ont quelques pouces l’eau dans la cave ce qui leur rend la vie misérable par les temps qui courent. C’est donc à Brisbane que nous avons célébré Noël. Une messe de minuit en anglais dans l’humidité d’une vieille église dégoulinante puis, petit réveillon tranquille en toute intimité (merci à grand-papa, Catherine et Anne pour les cadeaux!!). Le lendemain, c’est Manon et Denis qui nous ont honorés de leur présence pour le souper de Noël suivi d’une grosse «game» de Dame de pique…
« ♫ Raindrops keep falling on my head, and just like the guy whose feet are too big for his bed ♫
♭Nothing seems to fit, those raindrops are falling on my head, they keep falling… ♬»
Pendant ce temps, la pluie qui tombe inlassablement. Puis la tragédie frappe alors que le 26 décembre au matin, j’apprends la mort subite de mon père. J’pense que je vais m’en souvenir de ce Noël, pour la vie. C’est sous le choc de cette terrible nouvelle que nous avons quitté pour la Sunshine Coast. Sunshine mon œil!!! Je pense que les dieux pleurent encore la mort de mon père. Après trois jours de pluies diluviennes, en deuil, dans un Caravan park à tenter d’animer des enfants surexcités par l’inactivité, on était de sérieux candidats au suicide!! (j’exagère un peu!) J’pensais jamais me ramasser dans une usine de biscuit en pain d'épices ou devant une allée de bowling en Australie!!! Florent en a profité pour perdre ses lunettes…
Heureusement, le sixième jour, Dieu a décidé de prendre un break pis a demandé à ses Madeleines d’arrêter de brailler. Enfin, une éclaircie… Caltor, il était temps !!!!
Alors Dieu parla ainsi à Noé : « Sors de l'arche, toi et ta femme, tes fils et les femmes de tes fils avec toi. Tous les animaux qui sont avec toi, tout ce qui est chair, oiseaux, bestiaux et tout ce qui rampe sur la terre, fais-les sortir avec toi : qu'ils pullulent sur la terre, qu'ils soient féconds et multiplient sur la terre. »
C’est alors que j’ai dit au créateur «Avec trois enfants j’penses que j'ai fait ma part en masse», vivement la vasectomie…
Pour le nouvel an, un autre miracle s’est produit. Nous nous sommes liés d’amitié avec la famille voisine au caravan park.
Des australiens dont les origines sont espagnoles. Atilano, Cristina et leurs trois enfants, 2 garçons et une fille (ça nous a rappelé vaguement quelque chose). Nous avons défoncé l’année avec eux, en mangeant 12 raisins sous les 12 coups de minuit comme la tradition espagnole le veut. Nous avons aussi bien dansé et bien bu à l’année 2011. AU caravan park, y avait un chansonnier, un mélange de Ray Arseno (ceux qui se souviennent de l’Abat-Jour) et de Julien Raisin mais en plus lette!! Il dégoulinait de sueur, se mettait des perruques pour nous faire rire (!!) et portait comme nom de scène : The String Hunter!!! Kétaine à fond mais on a bien ri!!
En passant, nous vous souhaitons une bonne et heureuse année
Profitant toujours de l’éclaircie, nos nouveaux amis, nous ont fait découvrir à 1km du camping, un petit «ferry» qui traverse ton char sur un genre d’île bordée de Km de plages désertes, l’eau à peu près à température du corps, un vrai délice. Avec le brassage des larmes de Madeleines et de l’eau de mer, il en résultait une petite mousse qui donnait l’impression de se baigner dans une bonne urine fraiche. Huuummm!!!!
♫ I´m singin´ in the rain, just singin´ in the rain,
What a glorious feeling, and I´m happy again
I´m laughing at clouds, so dark, up above ♬…
Puis, le déluge a repris, alors on a pris notre arche pis on est retourné chez nous. Maintenant, c’est les grands préparatifs de départ. Cette semaine, nous avons rencontré la famille de Finlandais qui vont louer notre maison et acheter notre char. Ils sont très gentils et nous tentons de leur offrir l’aide que nous avons reçu en plus de l’aide que nous aurions aimé avoir.
Part les temps qui courent, nous sommes invités ici et là par les gens que nous avons connus, bref, ça sent le départ prochain.
Plan de match :
18 janvier : On quitte la maison pour l’hôtel
21 janvier : On prend l’avion pour Tahiti (pauvre nous)
31 janvier : Retour vers le frette et ceux qu’on aime (l’eau pis ensuite le frette, ça fait pas du verglas ça?????)
Si nous avons une ligne internet digne de ce nom sur l’île de Mooréa (re-pauvre nous), nous vous ferons profiter de quelques images sur le blogue (si vous êtes fins, bien sûr).
Merci pour votre support pendant notre séjour, ce blogue a été un élément de motivation incroyable et vos commentaires ont grandement enrichi ce qui deviendra maintenant notre journal de bord.
On se peut plus de vous revoir…
Heureusement, pour ceux qui s’inquiétaient, nous sommes chez nous bien au sec. Pour la fête de Noël, nos plans ont du changer à la dernière minute puisque nos amis Kim et Camilla, qui devaient nous recevoir, ont réalisé que leur maison de location n’était pas faite en silicone! En effet, les malheureux ont quelques pouces l’eau dans la cave ce qui leur rend la vie misérable par les temps qui courent. C’est donc à Brisbane que nous avons célébré Noël. Une messe de minuit en anglais dans l’humidité d’une vieille église dégoulinante puis, petit réveillon tranquille en toute intimité (merci à grand-papa, Catherine et Anne pour les cadeaux!!). Le lendemain, c’est Manon et Denis qui nous ont honorés de leur présence pour le souper de Noël suivi d’une grosse «game» de Dame de pique…
« ♫ Raindrops keep falling on my head, and just like the guy whose feet are too big for his bed ♫
♭Nothing seems to fit, those raindrops are falling on my head, they keep falling… ♬»
Pendant ce temps, la pluie qui tombe inlassablement. Puis la tragédie frappe alors que le 26 décembre au matin, j’apprends la mort subite de mon père. J’pense que je vais m’en souvenir de ce Noël, pour la vie. C’est sous le choc de cette terrible nouvelle que nous avons quitté pour la Sunshine Coast. Sunshine mon œil!!! Je pense que les dieux pleurent encore la mort de mon père. Après trois jours de pluies diluviennes, en deuil, dans un Caravan park à tenter d’animer des enfants surexcités par l’inactivité, on était de sérieux candidats au suicide!! (j’exagère un peu!) J’pensais jamais me ramasser dans une usine de biscuit en pain d'épices ou devant une allée de bowling en Australie!!! Florent en a profité pour perdre ses lunettes…
Heureusement, le sixième jour, Dieu a décidé de prendre un break pis a demandé à ses Madeleines d’arrêter de brailler. Enfin, une éclaircie… Caltor, il était temps !!!!
Alors Dieu parla ainsi à Noé : « Sors de l'arche, toi et ta femme, tes fils et les femmes de tes fils avec toi. Tous les animaux qui sont avec toi, tout ce qui est chair, oiseaux, bestiaux et tout ce qui rampe sur la terre, fais-les sortir avec toi : qu'ils pullulent sur la terre, qu'ils soient féconds et multiplient sur la terre. »
C’est alors que j’ai dit au créateur «Avec trois enfants j’penses que j'ai fait ma part en masse», vivement la vasectomie…
Pour le nouvel an, un autre miracle s’est produit. Nous nous sommes liés d’amitié avec la famille voisine au caravan park.
Des australiens dont les origines sont espagnoles. Atilano, Cristina et leurs trois enfants, 2 garçons et une fille (ça nous a rappelé vaguement quelque chose). Nous avons défoncé l’année avec eux, en mangeant 12 raisins sous les 12 coups de minuit comme la tradition espagnole le veut. Nous avons aussi bien dansé et bien bu à l’année 2011. AU caravan park, y avait un chansonnier, un mélange de Ray Arseno (ceux qui se souviennent de l’Abat-Jour) et de Julien Raisin mais en plus lette!! Il dégoulinait de sueur, se mettait des perruques pour nous faire rire (!!) et portait comme nom de scène : The String Hunter!!! Kétaine à fond mais on a bien ri!! En passant, nous vous souhaitons une bonne et heureuse année
Profitant toujours de l’éclaircie, nos nouveaux amis, nous ont fait découvrir à 1km du camping, un petit «ferry» qui traverse ton char sur un genre d’île bordée de Km de plages désertes, l’eau à peu près à température du corps, un vrai délice. Avec le brassage des larmes de Madeleines et de l’eau de mer, il en résultait une petite mousse qui donnait l’impression de se baigner dans une bonne urine fraiche. Huuummm!!!!
♫ I´m singin´ in the rain, just singin´ in the rain,
What a glorious feeling, and I´m happy again
I´m laughing at clouds, so dark, up above ♬…
Puis, le déluge a repris, alors on a pris notre arche pis on est retourné chez nous. Maintenant, c’est les grands préparatifs de départ. Cette semaine, nous avons rencontré la famille de Finlandais qui vont louer notre maison et acheter notre char. Ils sont très gentils et nous tentons de leur offrir l’aide que nous avons reçu en plus de l’aide que nous aurions aimé avoir.
Part les temps qui courent, nous sommes invités ici et là par les gens que nous avons connus, bref, ça sent le départ prochain.
Plan de match :
18 janvier : On quitte la maison pour l’hôtel
21 janvier : On prend l’avion pour Tahiti (pauvre nous)
31 janvier : Retour vers le frette et ceux qu’on aime (l’eau pis ensuite le frette, ça fait pas du verglas ça?????)
Si nous avons une ligne internet digne de ce nom sur l’île de Mooréa (re-pauvre nous), nous vous ferons profiter de quelques images sur le blogue (si vous êtes fins, bien sûr).
Merci pour votre support pendant notre séjour, ce blogue a été un élément de motivation incroyable et vos commentaires ont grandement enrichi ce qui deviendra maintenant notre journal de bord.
On se peut plus de vous revoir…
dimanche 2 janvier 2011
À Gilles, mon père adoré, décédé le 25 décembre 2010
J’ai souvenir d’un père généreux
Un homme qui a donné sa chemise pour sa famille et ses amis
J’ai souvenir d’un père courageux, déterminé
Un homme au caractère fort, que rien ne pouvait arrêter
J’ai souvenir d’un père qui aimait la vie
Un homme simple, accessible, charmant
Aujourd’hui c’est toute la rue St-Jean qui te pleure
J’ai souvenir d’un père qui aimait ses enfants
Un homme qui regardait grandir sa lignée avec fierté
Aujourd’hui, c’est toute ta famille qui te pleure
Tu nous as montré que dans l’intensité, il n’y a pas de compromis…
Ton esprit vivra à jamais en nous
• Julien est animé de ta passion de l’histoire et des belles choses
• Florent de ton grand cœur
• Marine vit avec ton intensité
• Alexis possède ton esprit enjoué
• Camille fait vivre ta sensibilité
Et ça se continuera.
Tes arrières petits enfants hériteront peut-être de ta patience légendaire ou de ton sens de l’humour! Chose certaine, tu auras laissé une belle trace, une trace profonde et indélébile lors de ton trop court passage sur cette terre qui t’a vu rire et aimer.
Tu nous manques
Je t’aime papa
Nous t’aimons Papi
François, Caroline, Julien, Florent, Marine
Inscription à :
Articles (Atom)